Les journalistes en dangers
Les agressions contre les journalistes sont en constante augmentation selon le bilan annuel de Reporters Sans Frontières (RSF). La haine du journaliste est un phénomène social qui perdure depuis maintenant trop longtemps. Cette haine, parfois même revendiquée par les leaders politiques, se traduit par une hausse inadmissible des violences contre les journalistes.
Les journalistes, relais d’information incontournable
Le mouvement des gilets jaunes n’arrange en rien cette situation déplorable, bien au contraire. Lors de chaque manifestation les journalistes sont encerclés, insultés, frappés, menacés… Le climat actuel les empêche de faire leur travail convenablement. Mais comme l’affirme Stéphanie Roque, journaliste pour LCI “s’il n’y a plus de journalistes il n’y a plus de démocratie”. Un mouvement a été formé pour dénoncer ces violences (#PayeToiUnJournaliste).
Par conséquent, ces hommes et ces femmes qui désormais risquent leur vie pour relayer l’information doivent s’adapter à la situation. Pour ce fait ils décident de se protéger avec l’aide de société de sécurité privée. Les groupes de media audiovisuels font appel à des sociétés de sécurité privée afin qu’un agent de sécurité accompagne chaque journaliste couvrant l’actualité des manifestations.
De nouvelles possibilités pour exercer en toute sécurité pour les journalistes
Des sociétés de sécurité privée proposent leurs services aux journalistes afin d’assurer leur sécurité. Ce gage de sécurité facilite les journées des professionnels de l’information confrontés à cette vague d’agression.
Des plateformes comme OProtect s’engagent à les mettre en relation avec des agents de sécurité qualifiés et sérieux. Le principe est simple, après son inscription sur le site il suffit de renseigner les critères de la mission proposée. Le client sélectionne une société de sécurité parmi une liste de plusieurs groupe. La réservation simplifiée se fait en ligne instantanément et les agents sont disponibles dans l’heure.